Daniel HIRVOIS

Né à Paris 15 ème le 17 avril 1933, Daniel HIRVOIS devint dès son plus jeune âge un enfant du Plateau d’Avron où il fréquenta l’Ecole Communale jusqu’au Certificat d’Etudes. Il s’orienta dès sa 12 ème année vers les métiers d’art.
Apparemment, rien ni personne dans ses antécédents ne le prédisposait à ce genre d’activité. Du côté paternel, son père, Emile HIRVOIS, breton de Rohan dans le Morbihan, travailla toute son existence dans le secteur bancaire. Son grand-père exerçait dans son secteur rural, la profession de transporteur de fret et de personnes dans une carriole tirée par un cheval sur des trajets de ville à ville ou plutôt de village à village, autour de Rohan.

Peut-être trouverait-on un lien sur le plan de la recherche et de la curiosité avec son grand-père maternel, Octave FIERE, un des premiers reporters, cinéaste à l’Eclair-Journal (les actualités de l’époque) qui périt tragiquement en 1911 éventré par un buffle en Rhodésie., au cours d’un reportage sur le lac Tanganyika.

Quoiqu’il en soit, Daniel Hirvois étonna son entourage en produisant des ouvrages de qualité, certains très aboutis, d’autres sous forme d’esquisses prestement enlevées dans diverses techniques, gouache, pastel et huile. Il se mit à la gravure qu’il maîtrisa rapidement dès son entrée à l’école Estienne. Nous avons conservé quelques œuvres de cette période.

Il quitta le Plateau en 1954 lors de son mariage pour vivre à Paris et se lancer alors avec le PARL ARTGIP dans la gravure sur acier qui était exploitée par les entreprises et par la Poste (à l’époque, les P.T.T) pour servir de flammes publicitaires sur les enveloppes traitées par les machines à affranchir.

Après l’exploitation éphémère d’une galerie de peinture «La Logia» qu’il avait créée et ouvert à Denfert Rochereau, Paris 14 ème, il consacra toute son existence au graphisme, à l’image, au son et bien entendu à la peinture (avec entre autre, l’invention du MétaRayonnisme) qu’il pratique toujours assidument dans sa retraite méridionale de Fontvieille (dans les Bouches du Rhône), au pied du Moulin de Daudet.

Notons pour terminer que Daniel HIRVOIS au début des années 1970 est devenu Jean Daniel HIRVOY pour son entrée dans le monde artistique et c’est sous ce nom qu’il poursuit sa carrière


Personnalité - Daniel Hirvois
LES ETAPES DE L’ITINERAIRE

ROHAN, PARIS, NEW YORK, LE THIBET, ATHENES, L’EGYPTE, MEXICO, FLORENCE.

Pour ce Pèlerin, son Tour du Monde part du pied des Menhirs, de ce Finis-Terrea breton, aboutissement des cultures.

Le voyage à travers l’histoire de l’art, passe toujours par Paris, l’incontournable.

A douze ans, ses dons naturels sont éveillés par son vieux Maitre. A dix huit ans, diplômé de l’Ecole du Livre & de la Presse, le L.S.T. Estienne, il hante les Beaux-arts. Promis à un prix de Rome, il s’évade dans l’industrie graphique et se passionne pour l’image audiovisuelle et informatique.

A la pratique des Grands Maitres classiques, il adjoint l’observation des contemporains, ce qui explique en partie l’intéressante synthèse exceptionnelle de son œuvre, originale, inventive, personnelle. C’est ce qui retient d’attention des « Découvreurs ». En effet, après une longue retraite dans sa « tour d’ivoire » de Provence, Hirvoy nous est révélé en 1993 par la première grande exposition sous les voutes de l’immense salle du parvis de la Basilique Notre Dame de la Garde de Marseille, au titre d’un Hommage au Sacré.

Après deux « sorties » aussi prestigieuses en 1994 à Albi (Palais de le Berbie – Musée Toulouse Lautrec) et au Palais des Vicomtes de Saint-Girons (Invité pour le premier festival de musique sacrée).

Nous retrouvons ses œuvres majeures « à domicile » en octobre 1995, à l’Espace Art du Paradou en Provence

Une voie « royale» ou « romaine » est ainsi ouverte pour de nouveaux horizons…..




 










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